Ces quelques derniers jours ont été - paradoxalement - riches en nouvelles du côté des productions DC Films. D'abord, on a commencé par apprendre que le nouveau président de Warner Bros. n'avait aucun respect pour le travail de ses équipes, et que ce n'était pas non plus le mec qui se tenait le mieux à table aux mariages des copains. Remarquez, il était peut-être seulement vexé de ne pas avoir été invité. Mais surtout, on a aussi eu la confirmation que la série Peacemaker avait été épargnée des énormes (insistons : énormes, à presque 900 millions de dollars cumulés, on peut se permettre de densifier le qualificatif) coupes opérées par les patrons de Warner Bros. sur les productions originales HBO Max.
Une bonne nouvelle pour James Gunn
En particulier pour lui d'ailleurs, puisque le bonhomme se préfère
showrunner à réalisateur depuis peu. Aucun projet de long-métrage à l'horizon, contre pas moins de trois séries télévisées,
toutes dérivées du film The Suicide Squad. Et si
John Cena a retrouvé son rôle de bras armé (ou de bras cassé) de l'Amérique des commandos dans la série
Peacemaker, le
Bloodsport d'
Idris Elba n'a pas encore trouvé chaussure à son pied pour se réintroduire dans l'univers
DC sur le petit ou le grand écran. Bonne nouvelle pour lui-aussi : a priori, ça bouge.
Dans le cadre d'une entrevue accordée à la rédaction de Fandango, Elba confirme avoir "quelque chose d'important" en développement du côté de DC Films ou de Warner Bros. Television. On ne sait pas encore quoi, mais avec trois spin-offs de The Suicide Squad en parallèle, on imagine assez facilement que le comédien finira par retrouver du boulot pour continuer de grand remplacer Will Smith dans le rôle des mauvais papas portés sur la gachette et les missions suicides chez DC.
A moins qu'il ne s'agisse d'un projet complètement différent - au demeurant, des univers comme ceux de Constantine, Joker ou The Batman n'évoluent pas du tout dans le même canon que les séries de James Gunn et Idris Elba reste un acteur populaire à Hollywood capable d'oeuvrer dans des productions de tailles tout à fait variées. A voir ce que l'avenir réserve à Stringer Bell.